mardi 25 octobre 2016

Maison à louer du court ou du long terme à Québec,Canada. www.bookingquebeccity.com



www.bookingquebeccity.com


Maison à louer du court ou du long terme. Facile et près, l'accès au centre ville de Québec.

Maison Canadienne ayant gardé son vieux cachet d origine. Si vous cherchez une maison neuve ou récente, la maison n'est pas pour vous! 2 GRANDES chambres  pour y dormir 8 personnes.La 3ème petit espace dortoir avec lits, est pour 2 personnes. 2 salles: de bain,d'eau et lavage. Ainsi que salon,cuisine,stationnements. SÉCURITAIRE,et tranquille.Peu de circulation


Privé et réservé uniquement pour votre groupe: Maison Canadienne ayant gardé son vieux cachet d'origine. Si vous cherchez une maison neuve ou très récente, cette maison n'est pas pour vous!  Pour bien vivre,s'amuser et se reposer en toute sécurité comme chez-vous ou semblable? Attention: ce n'est pas un logement dans un  immeuble partagé avec autres logements!  C'est vraiment une maison unifamiliale, et non un ensemble de plusieurs logements. Vous ne dérangerez aucune personne dans le bâtiment! VOUS SEREZ CHEZ-VOUS!!! Quartier tranquille, peu de circulation automobile ou autres véhicules, car c'est une rue cul de sac.

Important: C'est dans le beau secteur familiale et tranquille: nouveau quartier dynamique de  Lebourgneuf/Neufchâtel, l'un des plus sécuritaire de la région  immédiate de la ville de Québec pour vous et votre voiture! Nous sommes du bon coté du fleuve, soit la rive nord, près de tous les services. Activités diverses, alimentation, médicale, automobile, loisirs, restauration pour les divers budget et 24 heures. Et les centres d'achats les plus important de la région de Québec. Tous les pièces sont au niveau du sol (r-c) ou à l'étage. Il n'y a pas de pièces dans un sous sol sombre et humide pour votre santé, avec des fenêtres minuscules. 


















                                     


                               
                                   

mercredi 1 octobre 2014

Petits gestes pour bien isoler sa maison avant l'hiver

Avec l'arrivée de l'automne, les chaudes journées sont rares et préparer sa maison pour l'hiver devient un mal nécessaire. Nos conseils pour savoir quoi faire avant que le froid s'installe.

Dans la cour
Lavez les fenêtres. On y pense toujours au printemps, mais si vous le faites aussi cet automne vous apprécierez le supplément de lumière. Enlever les moustiquaires augmentera encore plus la luminosité.
Vérifiez l’état du grillage des extracteurs d’air de la hotte­ de cuisine et du ventilateur de salle de bains. Vous diminuerez ainsi le risque d’héberger des rongeurs cet hiver.
Fermez la valve du conduit extérieur d’eau pour éviter que le gel ne fasse éclater le tuyau. Il ne suffit pas de fermer le robinet. Il faut aussi fermer la valve à l’intérieur, puis ouvrir le robinet pour libérer l’eau.
Enlevez les feuilles ou le bois qui traînent autour de la maison. Vous diminuerez les risques que des fourmis charpentières s’introduisent à l’intérieur ou que des rongeurs se fassent un nid dans les débris.

À l’intérieur
Nettoyez les plinthes électriques pour limiter les mauvaises odeurs au moment où elles reprendront du service. Si vous avez un chauffage à air pulsé, remplacez ou nettoyez le filtre de la fournaise, selon qu’il est permanent ou non. Remplacez aussi le filtre de l’humidificateur intégré à la fournaise, si vous en utilisez un.
Songez à isoler les fenêtres. Vous ne savez pas si ça vaut la peine ? Un jour de froid, passez votre main autour de la fenêtre. Si vous sentez un courant d’air, c’est soit que l’air passe, soit que la rencontre entre le chaud et le froid crée des turbulences. «Dans les deux cas, l’ajout d’une pellicule coupe-froid réduira fortement les infiltrations d’air tout en augmentant d’environ 50 % l’isolation du vitrage», dit l’expert Yves Perrier, fondateur du site Web Guide Perrier.
Vérifiez l’état des coupe-froid des portes. Quand vous aurez été obligé d’en changer un en plein hiver, vous n’oublierez plus jamais cette vérification automnale!
Nettoyez l’entrée d’air du ventilateur de la salle de bains. Si vous n’avez pas d’échangeur d’air dans la maison, n’hésitez pas à faire fonctionner ce ventilateur longtemps pendant l’hiver pour vous assurer un peu d’air frais à l’intérieur. Si vous le trouvez trop bruyant pour le laisser fonctionner, songez à le remplacer par un modèle plus silencieux. L’air frais en hiver, ça n’a pas de prix!
Si vous avez un échangeur d’air, nettoyez-en le filtre ou changez-le avant de remettre l’appareil en marche.
Vous savez qu’il faut changer régulièrement la pile des détecteurs de fumée et de monoxyde de carbone et libérer ces derniers de leur poussière. Mais saviez-vous que les appareils eux-mêmes doivent être changés périodiquement? Généralement, la durée de vie utile d’un détecteur de fumée est de 10 ans et celle d’un détecteur de CO2 de cinq ans. Vérifiez sa date de fabrication, une information généralement inscrite sur le boîtier.

Sur le toit
Libérez les gouttières des débris, surtout composés de feuilles. Une gouttière bouchée risque de ne plus évacuer l’eau correctement, sans compter qu’elle peut se briser plus rapidement ainsi surchargée. Pour vous éviter cette corvée annuelle, il existe des protège-gouttières vendus à partir d’environ 1,50 $ le pied.
Si vous avez un puits de lumière, assurez-vous que le calfeutrant qui l’entoure est toujours bien en place, et qu’il n’a pas séché. Vous préviendrez ainsi les infiltrations d’eau au dégel printanier.
La cheminée doit être ramonée, en général tous les ans, selon le taux d’humidité du bois et la quantité brûlée. La vérification visuelle du tuyau est souvent insuffisante, puisque les dépôts de créosote générés par la combustion du bois peuvent gonfler instantanément sous l’effet de la chaleur jusqu’à bloquer le tuyau de la cheminée.
Si vous ne voulez pas effectuer cette tâche, choisissez un ramoneur certifié par l’Association professionnelle du chauffage (APC). Certaines villes en font même une exigence. Attendez-vous à payer autour de 150 $.
Et ne croyez pas aux vertus miraculeuses des «bûches de ramonage» (PDF)
, même si leur action permet de dissoudre en partie la créosote. «Le ramonage chimique ne remplace pas le ramonage mécanique», précisent même des fabricants de ces bûches.
Pour les toits en pente, vérifiez l’état des bardeaux: assurez-vous qu’aucun n’est cassé ou ondulé. S’il y en a quelques-uns à remplacer, il est possible de le faire soi-même. Il suffit de soulever doucement le bardeau du dessus pour déclouer celui qui est endommagé, puis de reclouer le nouveau. S’il y a plusieurs bardeaux à remplacer, il est sage de demander l’avis de quelques couvreurs. Ainsi, vous saurez s’il vaut mieux remplacer toute la toiture ou si un problème de ventilation dans le grenier diminue la durée de vie des bardeaux.
Si vous avez un toit plat en bitume, assurez-vous que la roche recouvre bien toute la surface. Au besoin, utilisez un râteau pour faire remonter celle qui a glissé. Si le toit plat a un orifice de drainage, veillez à ce qu’il soit libre de feuilles et de roches. Et vérifiez l’état des solins de recouvrement, ces pièces de tôle qui ceinturent le toit. Des solins rouillés ou endommagés peuvent causer des infiltrations d’eau.

Source: Stéphan Dussault

SI VOUS DÉSIREZ PLUS D'INFORMATIONS  CONTACTEZ-MOI: Bernard Dufour Gestionnaire et Courtier Immobilier 418-559-0456.

lundi 28 avril 2014

Refaire votre toiture.

Les travaux proposés par les couvreurs peuvent être inappropriés, voire dommageables pour votre maison ou autres propriétés. Voici nos conseils pour choisir un entrepreneur compétent.

Difficile de vous en sortir pour moins de 5 000 à 10 000 $ si vous devez refaire la toiture d’une maison de taille moyenne dotée d’un toit en pente. Et à ce prix, vous êtes en droit de vous attendre à ce que le couvreur propose des solutions pertinentes et durables. Or, il n’en va pas toujours ainsi. Nous avons demandé des devis pour la réfection de trois toitures de maisons situées en banlieue de Montréal. Verdict : plusieurs entrepreneurs ne détectent pas les problèmes. Certains proposent même des travaux de plusieurs milliers de dollars quand une intervention de quelques centaines de dollars suffirait !

Voici nos conseils pour vous aider à choisir un couvreur compétent.



Ce que vous devez savoir avant de vous lancer dans les demandes de soumissions pour la réfection de votre toiture.
Inspectez l’inspecteur !
Pour savoir si le devis qu’on vous soumet est réaliste, vous devez faire vos devoirs. Avant toute chose, relisez le rapport de l’inspection préachat de votre propriété. Y avait-on relevé des éléments à surveiller, comme des corniches obstruées ? Dans ce cas, assurez-vous que l’entrepreneur y portera attention. Puis, regardez bien les trois cas présentés dans les pages suivantes pour relever des questions pertinentes à poser pendant la visite, et pour connaître les pièges à éviter.
Le choix de l’entrepreneur
Faites une présélection : fouillez dans les Pages jaunes, sur le Web ou encore dans le répertoire de l’Association des maîtres couvreurs du Québec pour trouver des entrepreneurs qui œuvrent près de chez vous. Mieux : utilisez le bouche-à-oreille !

Vérifiez ses licences : assurez-vous, auprès du Registre des détenteurs de licence, que les couvreurs présélectionnés possèdent un numéro de licence d’entrepreneur de la Régie du bâtiment du Québec (RBQ). Ils doivent aussi détenir la sous- catégorie de licence 1.1.1, 1.1.2, 1.2, 1.3 ou 7. Ce document prouve que les couvreurs ont fourni un cautionnement qui pourrait servir à vous indemniser, par exemple si l’entrepreneur fait faillite avant la fin des travaux. Le numéro de licence RBQ doit figurer sur tous les documents que les couvreurs vous remettent (soumissions, contrats, etc.).

Vérifiez également auprès de l’Office de la protection du consommateur (OPC) que les couvreurs possèdent un permis de commerçant itinérant, obligatoire pour conclure des contrats chez des consommateurs, et ce, même si c’est vous qui avez contacté l’entrepreneur. Pour obtenir ce permis, les entrepreneurs doivent aussi déposer un cautionnement qui pourrait servir à vous dédommager, par exemple s’ils n’exécutent pas les travaux pour lesquels vous vous êtes entendus.

Par ailleurs, avec un contrat de commerce itinérant, vous avez 10 jours pour annuler. Or, sur les 10 entrepreneurs qui ont préparé des soumissions dans le cadre de notre enquête, deux seulement possédaient ce permis. Si vous faites affaire avec un entrepreneur qui n’a pas de permis, la loi vous donne alors un délai qui peut atteindre un an pour annuler le contrat. Par contre, vous n’aurez pas accès au cautionnement puisqu’il n’aura pas été payé.

Obtenez des devis : pour les soumissions, faites appel à au moins trois entrepreneurs. Cela vous permettra de comparer les prix et les travaux proposés.

Réclamez des références : demandez aux entrepreneurs de vous fournir les coordonnées d’anciens clients. Appelez-les et demandez-leur, par exemple, dans quel état le couvreur a laissé les lieux à la fin des travaux, s’il a modifié son plan initial, s’il a offert un bon service, etc.

L’inspection indépendante
En cas de doute quant à la pertinence des travaux proposés, notamment des changements à la ventilation, n’hésitez pas à demander l’avis d’un consultant en toitures ou d’un inspecteur en bâtiment indépendant. Idéalement, ce professionnel doit être membre de l’Ordre des architectes du Québec­, de l’Ordre des ingénieurs du Québec ou encore de l’Ordre des technologues professionnels du Québec­, ce qui l’oblige à respecter certaines normes et à détenir une assurance responsabilité. Ainsi, vous aurez de meilleurs recours si votre inspecteur a été négligent. Prévoyez payer entre 300 et 600 $, une dépense qui peut être particulièrement rentable si votre maison présente des problèmes de ventilation.
La réalisation des travaux
Si possible, les travaux de toiture doivent être effectués au printemps ou à l’été. Les chauds rayons du soleil permettent aux bandes autocollantes des bardeaux de bien adhérer à la surface du toit. Après le 30 septembre, l’entrepreneur doit les coller manuellement, ce qui augmentera la facture.

Le paiement des travaux
L’entrepreneur pourrait vous demander de verser un acompte de 5 à 10 % au moment de la signature du contrat. L’Office de la protection du consommateur recommande de refuser de le faire – à moins qu’il s’agisse d’une très petite somme – au cas où l’entrepreneur ferait faillite. La meilleure stratégie consiste à payer une fois les travaux complétés.

Les recours en cas de problème
Vous n’arrivez pas à régler un différend avec un entrepreneur ? La première chose à faire est de lui envoyer une mise en demeure. S’il ne propose toujours pas de solution, vous pouvez le poursuivre à la Cour des petites créances. Vous devez d’ailleurs obtenir un jugement en votre faveur avant de faire une réclamation à la RBQ, sauf dans le cas d’une faillite. Du côté de l’OPC, un jugement peut être requis s’il est impossible d’établir le montant des dommages au moment de la réclamation.
Conseil
Pour connaître la durée des garanties de toiture, lisez attentivement les documents de garantie que vous trouverez sur les sites des fabricants.

Source:Frédéric Perron

SI VOUS DÉSIREZ  DES CONSEILLES OU PLUS INFORMATIONS: CONTACTEZ-MOI Bernard Dufour Courtier Immobilier 418-559-0456.