vendredi 27 décembre 2013

Votre maison est-elle en santé?



Source: Guillaume Jousset


SI VOUS DÉSIREZ  DES CONSEILLES OU PLUS D'INFORMATIONS CONCERNANT  LES DIVERS POINTS . 

N'HÉSITEZ PAS, JE SAURAI VOUS AIDER, JE SUIS UN COURTIER IMMOBILIER SOUCIEUX DE BIEN FAIRE LES VÉRIFICATIONS AVEC VOUS DE VOTRE PROPRIÉTÉ ACTUELLE OU FUTURE.  

Bernard Dufour.
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samedi 21 décembre 2013

Les systèmes de ventilation et les nouvelles règles n’améliorent pas tout.


«Le Code de construction est complet et précis au sujet de l’installation
des systèmes de ventilation. Mais les installateurs, encore trop souvent,
ne l’appliquent pas.» Selon certains ingénieur, et prendre note de la sortie prochaine du Guide de bonnes pratiques en ventilation.

 
Depuis août 2012, une nouvelle régle­mentation sur l’efficacité énergétique des habitations impose, entre autres choses, l’installation d’un système de ventilation mécanique avec récupération de chaleur (VRC) dans tout nouveau bâtiment de moins de 600 m2 et de trois étages ou moins construit au Québec.

Ces nouvelles règles permettent d’har­moniser des pratiques qui étaient jusqu’alors très différentes d’une ville à l’autre, donc difficiles à faire appliquer. «Jusqu’à l’an dernier, certaines municipalités ne disposaient d’aucun cadre réglementaire en matière de ventilation», précise Hugh Ward, responsable du Groupe de travail sur la ventilation résidentielle, qui réunit des professionnels du secteur.
Malgré tout, l’installation des systèmes de ventilation pose souvent problème. Pour Patrice Lévesque, ingénieur spécialisé dans ce domaine et coauteur avec Hugh Ward du Guide de bonnes pratiques en ventilation, «le Code de construction est complet et précis sur le sujet. Mais les installateurs, encore trop souvent, ne l’appliquent pas». Ou négligent les règles de l’art.

La nouvelle réglementation ne corrigera pas toutes les lacunes qu’ont relevées les inspecteurs que nous avons interrogés. «Il faut faire la différence entre les exigences du Code de construction et les bonnes pratiques du secteur», explique l’ingénieur Daniel Forest, vice-président technologie et développement chez Venmar Ventilation, qui a participé en 2006 à un rapport de l’Institut national de santé publique traitant des impacts sur la santé des systèmes de ventilation dans les bâtiments.

La préférence des entrepreneurs pour les conduits flexibles, qui sont moins chers, mais aussi moins résistants et plus difficiles à nettoyer que les rigides, en est un bon exemple. En 2006, 78 % des maisons que Protégez-Vous a inspectées étaient équipées de conduits flexibles du côté chaud de l’installation de ventilation, c’est-à-dire la section où circulent l’air vicié des pièces et l’air neuf qui y est acheminé. «Selon le règlement, précise Daniel Forest, on peut choisir des conduits flexibles ou rigides. Par contre, les bonnes pratiques recommandent vivement l’utilisation de conduits rigides du côté chaud.» Pourtant, les inspecteurs consultés voient encore trop de conduits flexibles dans les maisons neuves.

En attendant le Guide de bonnes pratiques
Le Bureau de l’efficacité et de l’innovation énergétique, la Corporation des maîtres mécaniciens en tuyauterie du Québec et la Corporation des entreprises de traitements de l’air et du froid préparent un guide de bonnes pratiques pour la conception et la mise en place d’une installation de ventilation mécanique autonome dans un logement. C’est la première fois qu’un tel outil est créé, signe d’une volonté commune de faire bouger les choses. Il devrait être lancé cet automne, et des formations destinées aux professionnels de la construction suivront.


Sans aller jusqu’à proposer des visites systématiques de chaque projet mis en chantier – il y en a eu plus de 47 000 en 2012 –, les corporations professionnelles comme la CETAF aimeraient que la Régie s’implique davantage pour faire respecter les règlements. « Notre corporation n’a pas ce pouvoir. La Régie, oui. Si elle n’est pas en mesure de les faire appliquer, elle pourrait nous déléguer cette compétence », suggère Sylvain Bourret. Une responsabilité qui nécessiterait cependant des moyens humains et financiers importants.

SOURCE: Rémi Leroux

 

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Bernard Dufour.
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mercredi 18 décembre 2013

Copropriété: avant d’acheter, voyez tous les papiers!


Copropriété: avant d’acheter, voyez tous les papiers!








Vous craquez pour un condo? Avant de faire le grand saut, assurez-vous de bien savoir dans quoi vous vous embarquez.


En plus de la déclaration de copropriété et des règlements de l’immeuble, demandez à examiner la valeur du fonds de prévoyance, les avis de convocation et les procès-verbaux des trois ou quatre dernières années. Ces derniers renseignements vous donneront peut-être des éléments pour vérifier si de grands travaux ­d’entretien sont bientôt prévus et si le fonds de prévoyance est assez garni pour en absorber le coût.


SI VOUS DÉSIREZ  DES CONSEILLES OU PLUS INFORMATIONS CONCERNANT LES LES POINTS SUIVANTS, OU AUTRES, CONTACTEZ-MOI 418-559-0456.

  • Y a-t-il un plan d’entretien préventif des parties commu­nes? Peut-on l’examiner?
  • Y a-t-il eu des travaux majeurs depuis la ­construction?
  • Les frais de condo sont-ils les mêmes depuis longtemps? Si tel est le cas, cela peut affecter négativement le fonds de prévoyance. Consultez les états financiers du syndicat et le budget prévisionnel.
  • S’il s’agit d’un condo récent, cherchez à savoir si le constructeur est toujours en affaires.
  • Si vous faites une promesse d’achat, demandez un relevé des frais de copropriété que doit le vendeur.
 
N'HÉSITEZ PAS, JE SAURAI VOUS AIDER.  Bernard Dufour Courtier Immobilier.

Source: Marie Bernier.

Chauffe-eau: louer ou acheter?

Chauffe-eau: louer ou acheter?

Chauffe-eau: louer ou acheter? 


Comme pour votre auto ou votre tuxedo, vous pouvez décider d’acquérir ou de louer votre chauffe-eau. Quelle formule vous convient le mieux?

Jean-Philippe LaRose n’avait encore jamais composé le 911. Mais ce soir-là, une inquiétante odeur de brûlé se répandait dans la maison. Les pompiers ont vite découvert le problème: après 13 ans de vaillants services, le chauffe-eau avait rendu l’âme. «L’eau avait provoqué un court-circuit dans l’appareil», explique ce résident de La Prairie. Le lendemain, il achetait et faisait installer un nouveau chauffe-eau électrique. Coût: 500 $. Reste que l’incident aurait pu lui coûter bien plus cher: «Ma maison aurait pu passer au feu!»
Un chauffe-eau n’est pas éternel et c’est souvent un pépin ou un dégât d’eau qui vous le rappelle. Pas étonnant que le mantra des entreprises de location de chauffe-eau soit la tranquillité d’esprit. Pour environ 15 $ par mois, finis les tracas! Une fuite survient? Un réparateur débarquera chez vous sans frais. «Les entreprises louent d’ailleurs de bons appareils pour éviter d’avoir à les entretenir régulièrement», souligne Olivier Bourgeois, analyste en énergie chez Option consommateurs. Et elles les remplacent après un maximum de 10 ou 15 ans d’usage, selon ce qui est indiqué dans le bail.

Mais la location de chauffe-eau présente aussi son lot de désavantages...


SI VOUS DÉSIREZ  DES CONSEILLES OU PLUS INFORMATIONS CONCERNANT LES DEUX POINTS SUIVANTS, OU AUTRES, CONTACTEZ-MOI 418-559-0456. 

1-  Votre chauffe-eau: comparer les plus et les moins. Louer ou acheter?
2- Quels types de chauffe-eau sont disponibles à l'achat et en location?
 
N'HÉSITEZ PAS, JE SAURAI VOUS AIDER.  Bernard Dufour Courtier Immobilier.



Source : Marie Bernier

Le courtier Immobilier Bernard Dufour: Commission/tarifs. Frais de commission qui peut être inférieur à 0.5% du prix de vente ou à partir de 990.$ . SEULEMENT! http://bernarddufour.com/commission

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dimanche 8 décembre 2013

Québec vient de donner un sérieux coup de barre dans la protection des propriétaires de maisons neuves!

Immobilier

Le 5 décembre 2013 à 16h05
Mise à jour le 5 décembre 2013 à 16h11

Québec vient de donner un sérieux coup de barre dans la protection des propriétaires de maisons neuves en retirant la gestion des plans de garantie des mains des associations d’entrepreneurs, qui étaient en conflit d’intérêt lorsqu’ils avaient à sévir contre leurs membres.

La ministre du Travail, Agnès Maltais, a présenté hier un projet de règlement qui prévoit qu’à compter d’octobre 2014, la gestion de ces plans sera confiée à un organisme sans but non lucratif (OSBL), indépendant de l'Association de la construction du Québec (ACQ) et l'Association provinciale des constructeurs d'habitations du Québec (APCHQ), qui gèrent les plans actuels.

Les entrepreneurs seront représentés, mais ils siègeront aux côtés de représentants d’associations de consommateurs et d’experts de l’industrie, comme des architectes. Plus précisément, le conseil d’administration de l’OSBL sera composé de treize personnes, dont trois seront identifiées à des associations d'entrepreneurs en construction et trois à des associations de consommateurs.
Le règlement réjouit Yves Joli-Coeur, un avocat spécialisé en copropriété qui parle au nom du Regroupement des gestionnaires et copropriétaires du Québec.

«C’est une étape franchement heureuse qui va amener une plus grande transparence pour les consommateurs. (…) Cela va éviter les situations de conflit d’intérêt dans lesquels était placés les entrepreneurs depuis plusieurs années».

Me Joli-Cœur applaudit aussi le pouvoir dont disposera la Régie du bâtiment pour établir des politiques d’inspection obligatoires.
«Pour nous, c’est la pierre angulaire de tout le système. Au Québec, il n’y a pas d’obligation d’inspecter la condition des bâtiments en construction. L’introduction d’une telle politique montre qu’on veut s’assurer que les maisons soient  mieux construites».

Le projet de règlement prévoit que les primes payées par les acheteurs pour le plan de garantie vont passer de 850$ à 1050$ pour une maison unifamiliale, et de 1250$ à 1550$ pour un condo.

Cette hausse des primes ne choque pas Me Joli-Cœur, «s’il y a un réel contrôle de la qualité. On va être extrêmement vigilant sur les politiques d’inspection.»

L’Association des consommateurs pour la qualité dans la construction, Jean Dion, se dit aussi très heureux que les associations d’entrepreneurs perdent le contrôle de la gestion des plans de garantie, car il y avait une «grosse apparence de conflit d’intérêt».

«Il reste des virgules à modifier dans le projet, mais le fait que tout va être encadré par une politique de la Régie et surveillé par le conseil d’administration de l’organisme à but non lucratif, est très intéressant.»

M. Dion est aussi satisfait de voir qu’un montant est prévu pour financer des services d’accompagnement des propriétaires aux prises avec des problèmes.
«Comme les consommateurs auront des sièges au conseil d’administration, on pourra mieux suivre les procédures de réclamations», note-t-il.

Le projet de règlement fera l’objet de consultations pendant 45 jours.
Le projet de règlement fera l’objet de consultations pendant 45 jours, avant d'être approuvé par le gouvernement. Qu'il y ait  ou non des modifications, il entrera en vigueur l'automne prochain.


Source: QMI