mercredi 1 octobre 2014

Petits gestes pour bien isoler sa maison avant l'hiver

Avec l'arrivée de l'automne, les chaudes journées sont rares et préparer sa maison pour l'hiver devient un mal nécessaire. Nos conseils pour savoir quoi faire avant que le froid s'installe.

Dans la cour
Lavez les fenêtres. On y pense toujours au printemps, mais si vous le faites aussi cet automne vous apprécierez le supplément de lumière. Enlever les moustiquaires augmentera encore plus la luminosité.
Vérifiez l’état du grillage des extracteurs d’air de la hotte­ de cuisine et du ventilateur de salle de bains. Vous diminuerez ainsi le risque d’héberger des rongeurs cet hiver.
Fermez la valve du conduit extérieur d’eau pour éviter que le gel ne fasse éclater le tuyau. Il ne suffit pas de fermer le robinet. Il faut aussi fermer la valve à l’intérieur, puis ouvrir le robinet pour libérer l’eau.
Enlevez les feuilles ou le bois qui traînent autour de la maison. Vous diminuerez les risques que des fourmis charpentières s’introduisent à l’intérieur ou que des rongeurs se fassent un nid dans les débris.

À l’intérieur
Nettoyez les plinthes électriques pour limiter les mauvaises odeurs au moment où elles reprendront du service. Si vous avez un chauffage à air pulsé, remplacez ou nettoyez le filtre de la fournaise, selon qu’il est permanent ou non. Remplacez aussi le filtre de l’humidificateur intégré à la fournaise, si vous en utilisez un.
Songez à isoler les fenêtres. Vous ne savez pas si ça vaut la peine ? Un jour de froid, passez votre main autour de la fenêtre. Si vous sentez un courant d’air, c’est soit que l’air passe, soit que la rencontre entre le chaud et le froid crée des turbulences. «Dans les deux cas, l’ajout d’une pellicule coupe-froid réduira fortement les infiltrations d’air tout en augmentant d’environ 50 % l’isolation du vitrage», dit l’expert Yves Perrier, fondateur du site Web Guide Perrier.
Vérifiez l’état des coupe-froid des portes. Quand vous aurez été obligé d’en changer un en plein hiver, vous n’oublierez plus jamais cette vérification automnale!
Nettoyez l’entrée d’air du ventilateur de la salle de bains. Si vous n’avez pas d’échangeur d’air dans la maison, n’hésitez pas à faire fonctionner ce ventilateur longtemps pendant l’hiver pour vous assurer un peu d’air frais à l’intérieur. Si vous le trouvez trop bruyant pour le laisser fonctionner, songez à le remplacer par un modèle plus silencieux. L’air frais en hiver, ça n’a pas de prix!
Si vous avez un échangeur d’air, nettoyez-en le filtre ou changez-le avant de remettre l’appareil en marche.
Vous savez qu’il faut changer régulièrement la pile des détecteurs de fumée et de monoxyde de carbone et libérer ces derniers de leur poussière. Mais saviez-vous que les appareils eux-mêmes doivent être changés périodiquement? Généralement, la durée de vie utile d’un détecteur de fumée est de 10 ans et celle d’un détecteur de CO2 de cinq ans. Vérifiez sa date de fabrication, une information généralement inscrite sur le boîtier.

Sur le toit
Libérez les gouttières des débris, surtout composés de feuilles. Une gouttière bouchée risque de ne plus évacuer l’eau correctement, sans compter qu’elle peut se briser plus rapidement ainsi surchargée. Pour vous éviter cette corvée annuelle, il existe des protège-gouttières vendus à partir d’environ 1,50 $ le pied.
Si vous avez un puits de lumière, assurez-vous que le calfeutrant qui l’entoure est toujours bien en place, et qu’il n’a pas séché. Vous préviendrez ainsi les infiltrations d’eau au dégel printanier.
La cheminée doit être ramonée, en général tous les ans, selon le taux d’humidité du bois et la quantité brûlée. La vérification visuelle du tuyau est souvent insuffisante, puisque les dépôts de créosote générés par la combustion du bois peuvent gonfler instantanément sous l’effet de la chaleur jusqu’à bloquer le tuyau de la cheminée.
Si vous ne voulez pas effectuer cette tâche, choisissez un ramoneur certifié par l’Association professionnelle du chauffage (APC). Certaines villes en font même une exigence. Attendez-vous à payer autour de 150 $.
Et ne croyez pas aux vertus miraculeuses des «bûches de ramonage» (PDF)
, même si leur action permet de dissoudre en partie la créosote. «Le ramonage chimique ne remplace pas le ramonage mécanique», précisent même des fabricants de ces bûches.
Pour les toits en pente, vérifiez l’état des bardeaux: assurez-vous qu’aucun n’est cassé ou ondulé. S’il y en a quelques-uns à remplacer, il est possible de le faire soi-même. Il suffit de soulever doucement le bardeau du dessus pour déclouer celui qui est endommagé, puis de reclouer le nouveau. S’il y a plusieurs bardeaux à remplacer, il est sage de demander l’avis de quelques couvreurs. Ainsi, vous saurez s’il vaut mieux remplacer toute la toiture ou si un problème de ventilation dans le grenier diminue la durée de vie des bardeaux.
Si vous avez un toit plat en bitume, assurez-vous que la roche recouvre bien toute la surface. Au besoin, utilisez un râteau pour faire remonter celle qui a glissé. Si le toit plat a un orifice de drainage, veillez à ce qu’il soit libre de feuilles et de roches. Et vérifiez l’état des solins de recouvrement, ces pièces de tôle qui ceinturent le toit. Des solins rouillés ou endommagés peuvent causer des infiltrations d’eau.

Source: Stéphan Dussault

SI VOUS DÉSIREZ PLUS D'INFORMATIONS  CONTACTEZ-MOI: Bernard Dufour Gestionnaire et Courtier Immobilier 418-559-0456.

lundi 28 avril 2014

Refaire votre toiture.

Les travaux proposés par les couvreurs peuvent être inappropriés, voire dommageables pour votre maison ou autres propriétés. Voici nos conseils pour choisir un entrepreneur compétent.

Difficile de vous en sortir pour moins de 5 000 à 10 000 $ si vous devez refaire la toiture d’une maison de taille moyenne dotée d’un toit en pente. Et à ce prix, vous êtes en droit de vous attendre à ce que le couvreur propose des solutions pertinentes et durables. Or, il n’en va pas toujours ainsi. Nous avons demandé des devis pour la réfection de trois toitures de maisons situées en banlieue de Montréal. Verdict : plusieurs entrepreneurs ne détectent pas les problèmes. Certains proposent même des travaux de plusieurs milliers de dollars quand une intervention de quelques centaines de dollars suffirait !

Voici nos conseils pour vous aider à choisir un couvreur compétent.



Ce que vous devez savoir avant de vous lancer dans les demandes de soumissions pour la réfection de votre toiture.
Inspectez l’inspecteur !
Pour savoir si le devis qu’on vous soumet est réaliste, vous devez faire vos devoirs. Avant toute chose, relisez le rapport de l’inspection préachat de votre propriété. Y avait-on relevé des éléments à surveiller, comme des corniches obstruées ? Dans ce cas, assurez-vous que l’entrepreneur y portera attention. Puis, regardez bien les trois cas présentés dans les pages suivantes pour relever des questions pertinentes à poser pendant la visite, et pour connaître les pièges à éviter.
Le choix de l’entrepreneur
Faites une présélection : fouillez dans les Pages jaunes, sur le Web ou encore dans le répertoire de l’Association des maîtres couvreurs du Québec pour trouver des entrepreneurs qui œuvrent près de chez vous. Mieux : utilisez le bouche-à-oreille !

Vérifiez ses licences : assurez-vous, auprès du Registre des détenteurs de licence, que les couvreurs présélectionnés possèdent un numéro de licence d’entrepreneur de la Régie du bâtiment du Québec (RBQ). Ils doivent aussi détenir la sous- catégorie de licence 1.1.1, 1.1.2, 1.2, 1.3 ou 7. Ce document prouve que les couvreurs ont fourni un cautionnement qui pourrait servir à vous indemniser, par exemple si l’entrepreneur fait faillite avant la fin des travaux. Le numéro de licence RBQ doit figurer sur tous les documents que les couvreurs vous remettent (soumissions, contrats, etc.).

Vérifiez également auprès de l’Office de la protection du consommateur (OPC) que les couvreurs possèdent un permis de commerçant itinérant, obligatoire pour conclure des contrats chez des consommateurs, et ce, même si c’est vous qui avez contacté l’entrepreneur. Pour obtenir ce permis, les entrepreneurs doivent aussi déposer un cautionnement qui pourrait servir à vous dédommager, par exemple s’ils n’exécutent pas les travaux pour lesquels vous vous êtes entendus.

Par ailleurs, avec un contrat de commerce itinérant, vous avez 10 jours pour annuler. Or, sur les 10 entrepreneurs qui ont préparé des soumissions dans le cadre de notre enquête, deux seulement possédaient ce permis. Si vous faites affaire avec un entrepreneur qui n’a pas de permis, la loi vous donne alors un délai qui peut atteindre un an pour annuler le contrat. Par contre, vous n’aurez pas accès au cautionnement puisqu’il n’aura pas été payé.

Obtenez des devis : pour les soumissions, faites appel à au moins trois entrepreneurs. Cela vous permettra de comparer les prix et les travaux proposés.

Réclamez des références : demandez aux entrepreneurs de vous fournir les coordonnées d’anciens clients. Appelez-les et demandez-leur, par exemple, dans quel état le couvreur a laissé les lieux à la fin des travaux, s’il a modifié son plan initial, s’il a offert un bon service, etc.

L’inspection indépendante
En cas de doute quant à la pertinence des travaux proposés, notamment des changements à la ventilation, n’hésitez pas à demander l’avis d’un consultant en toitures ou d’un inspecteur en bâtiment indépendant. Idéalement, ce professionnel doit être membre de l’Ordre des architectes du Québec­, de l’Ordre des ingénieurs du Québec ou encore de l’Ordre des technologues professionnels du Québec­, ce qui l’oblige à respecter certaines normes et à détenir une assurance responsabilité. Ainsi, vous aurez de meilleurs recours si votre inspecteur a été négligent. Prévoyez payer entre 300 et 600 $, une dépense qui peut être particulièrement rentable si votre maison présente des problèmes de ventilation.
La réalisation des travaux
Si possible, les travaux de toiture doivent être effectués au printemps ou à l’été. Les chauds rayons du soleil permettent aux bandes autocollantes des bardeaux de bien adhérer à la surface du toit. Après le 30 septembre, l’entrepreneur doit les coller manuellement, ce qui augmentera la facture.

Le paiement des travaux
L’entrepreneur pourrait vous demander de verser un acompte de 5 à 10 % au moment de la signature du contrat. L’Office de la protection du consommateur recommande de refuser de le faire – à moins qu’il s’agisse d’une très petite somme – au cas où l’entrepreneur ferait faillite. La meilleure stratégie consiste à payer une fois les travaux complétés.

Les recours en cas de problème
Vous n’arrivez pas à régler un différend avec un entrepreneur ? La première chose à faire est de lui envoyer une mise en demeure. S’il ne propose toujours pas de solution, vous pouvez le poursuivre à la Cour des petites créances. Vous devez d’ailleurs obtenir un jugement en votre faveur avant de faire une réclamation à la RBQ, sauf dans le cas d’une faillite. Du côté de l’OPC, un jugement peut être requis s’il est impossible d’établir le montant des dommages au moment de la réclamation.
Conseil
Pour connaître la durée des garanties de toiture, lisez attentivement les documents de garantie que vous trouverez sur les sites des fabricants.

Source:Frédéric Perron

SI VOUS DÉSIREZ  DES CONSEILLES OU PLUS INFORMATIONS: CONTACTEZ-MOI Bernard Dufour Courtier Immobilier 418-559-0456.

 


lundi 14 avril 2014

Hausse des tarifs d'Hydro-Québec: l'Union des consommateurs s'insurge



L’augmentation de 4,3 % des tarifs d’électricité en vigueur depuis cette semaine préoccupe particulièrement l’organisme de défense des consommateurs, notamment parce qu’elle représente une hausse moyenne de 70 $ par année.




«Cette hausse est essentiellement attribuable à des décisions politiques comme le déploiement d’éoliennes, une dépense inutile alors que le Québec nage dans les surplus d’électricité», dénonce Philippe Viel, responsable des communications à l’Union des consommateurs. Comme l’électricité accapare une proportion plus importante du budget des personnes à revenus modestes, celles-ci sont davantage touchées, déplore-t-il.

L’organisme considère qu’il n’est pas justifié ou équitable que le gouvernement utilise un service essentiel comme l’électricité pour créer une «taxe déguisée» destinée à «renflouer les coffres de l’État» plutôt qu’à assurer la saine gestion financière de l’entreprise. D’autant plus que cette taxe frappe tous les ménages de la même façon, peu importe leur revenu.

Surendettement et vie privée
Par ailleurs, l’Union des consommateurs profite de la campagne électorale pour interpeller les candidats sur plusieurs autres enjeux, dont la protection des consommateurs. Elle demande notamment aux politiciens de poursuivre la révision de la Loi sur la protection du consommateur, les travaux ayant été tablettés en 2012. Dans la mire: le projet de loi 24, visant à lutter contre le surendettement des consommateurs et à moderniser les règles relatives au crédit à la consommation. «Il faudrait par exemple hausser le paiement minimum pour les cartes de crédit», précise Philippe Viel.

De plus, les institutions financières doivent se montrer davantage responsables lorsqu’elles accordent des prêts, juge l’organisme. «Elles devraient valider la capacité réelle de payer des emprunteurs, croit Philippe Viel. Pour un prêt hypothécaire, par exemple, elles tiennent comptent du revenu brut plutôt que du revenu net. Elles devraient aussi prendre en considération les dépenses.»

L’organisme estime également qu’il est temps que les élus québécois interviennent sur les enjeux de vie privée. «Les consommateurs partagent de plus en plus des données concernant leur consommation et leur vie privée, sans connaître la portée ou les conséquences de l’utilisation de ces données, maintenant devenues l’objet d’un commerce très lucratif», dénonce le communiqué.

Des incongruités en santé
Sur le plan de la santé, l’Union des consommateurs décrie le fait que le Canada est le pays où les médicaments sont les plus chers au monde, avec la Suisse. De plus, les Québécois paient 100 $ de plus que la moyenne canadienne pour leurs médicaments. Sans compter la multiplication des frais accessoires et la course à la privatisation dans le système de santé, qui tend à augmenter les coûts pour tous.

L’organisme réclame l’instauration d’un régime d’assurance médicament entièrement public pour contrôler les coûts, de même que l’abolition de la taxe santé, qui accapare une part différente du budget en fonction du revenu. Ainsi, une personne gagnant 130 000 $ par an doit payer 200 $, soit 0,15 % de son revenu, alors que celle qui gagne 20 000 $ par an paie 100 $, soit 0,5 % de son revenu. Où est la logique?, demande l’organisme.

Paliers d’imposition
L’Union des consommateurs demande aussi une série de mesures fiscales visant à freiner les conséquences de la course au déficit zéro sur le budget des ménages. «Taxe santé régressive, indexation des frais de scolarité, hausse importante des tarifs d’électricité et de transports en commun, coupures à l’aide sociale, prochainement une hausse des tarifs de garderie, etc. Du même coup, presque rien n’est fait pour lutter efficacement contre la pauvreté ni pour assurer une meilleure redistribution de la richesse», dénonce l’organisme.

Il propose l’ajout de dix paliers d’imposition des revenus des particuliers. «Cela rapporterait un milliard de dollars à l’État», soutient Philippe Viel. L’organisme juge également que l’impôt des entreprises, qui «ont bénéficié de cadeaux fiscaux trop généreux», devrait être augmenté de 15 % afin de récolter 1,22 milliard de dollars supplémentaire. Enfin, il demande le rétablissement de la taxe sur le capital pour les institutions financières, ce qui rapporterait 600 millions de dollars au trésor public.



Source: Nathalie Côté

Dégât d’eau, débordement, Inondation… Êtes-vous couvert?


Murs à refaire, planchers pourris, meubles endommagés… un dégât d'eau peut coûter cher.

Les inondations dues à la crue des eaux ne sont généralement pas couvertes
par les contrats offrant une protection de base. Photo: iStockphoto
Selon le Bureau d’Assurance du Canada, les assureurs canadiens versent plus de 1,3 milliard de dollars par année pour indemniser les victimes de dommages causés par l'eau. Le remboursement de vos frais de réfection dépend de votre contrat d'assurance habitation. Au Québec, les dommages causés par l'eau représentent environ la moitié des montants de réclamations versés en assurance habitation.

Ma police couvre quoi, au juste?
Responsable des affaires publiques au Bureau d'assurance du Canada, Anne Morin souligne que la protection de base offerte par la majorité des polices d'assurance habitation couvre plusieurs dommages causés par l’eau. Par exemple, la plupart des contrats protègent la maison en cas de bris de conduites municipales d’eau potable et lors de dégâts d’eau liés au débordement ou au bris d'installations sanitaires (éclatement de la conduite d'eau, baignoire qui déborde, etc.).

La formule de base comporte également une assurance responsabilité civile pour les dommages corporels et matériels involontaires causés à autrui et dont vous seriez tenu responsable. Cela pourrait être le cas, par exemple, si l’eau qui a débordé chez le voisin du dessous provenait de votre chauffe-eau.

Certains risques nécessitent toutefois des garanties supplémentaires (avenants), notamment pour les débordements d'égouts, l’infiltration de la pluie par le toit et le gonflement de la nappe phréatique.

Catastrophes naturelles
Contrairement à la croyance populaire, plusieurs catastrophes naturelles (regroupées sous l'appellation «Act of God») sont couvertes par les contrats de base, par exemple les tornades, les ouragans, la foudre, la grêle, le verglas et les pluies diluviennes.

Les dommages causés au bâtiment par la chute d’un objet (comme un arbre) ou les dommages causés par un objet alourdi par le poids de la neige ou de la glace sont aussi couverts dans tous les contrats de base. En revanche, l’effondrement de biens lié au poids de la glace ou de la neige n’est couvert que dans les contrats tous risques. Enfin, il est possible de s’assurer contre les tremblements de terre par l’entremise d’un avenant.

Dans la catégorie des catastrophes naturelles, les seuls risques non assurables sont les dommages causés par les mouvements de sol (comme un glissement ou un affaissement de terrain) ou le débordement d’un cours d’eau. «Aucune assurance habitation au pays ne couvre les dommages dus au débordement d'une rivière ou d'un lac», dit Anne Morin.

Confus? Consultez cette section du site Infoassurance.ca et demandez à votre assureur quels sont les types d’inondation couverts par votre police. Lorsque viendra le temps de renouveler votre assurance habitation, prenez le temps de consulter notre guide pratique de l'assurance.
Mieux vaut prévenir que guérir
Première règle simple – mais ô combien importante! – pour diminuer les risques de dégâts d'eau: assurez-vous que toutes les personnes qui habitent la maison savent où se trouve l'entrée d'eau. Cette précaution vous évitera bien des ennuis si une fuite incontrôlable survenait, par exemple si les tuyaux sous le lavabo explosaient et qu'il était impossible de contrôler la fuite.

Ne quittez pas la maison pendant que la laveuse fonctionne; les conséquences d'une fuite sont catastrophiques après seulement quelques minutes.

Assurez-vous que les descentes pluviales se prolongent d'au moins 1,8 mètre du mur de fondation de votre maison et que les drains et gouttières ne sont pas obstrués, par exemple en enlevant les feuilles mortes des gouttières.

L'hiver, chauffez bien la maison pour éviter que l'eau dans les tuyaux se transforme en glace et qu'elle fasse exploser la tuyauterie.

Pour connaître les mesures concrètes à adopter pour diminuer les risques d'inondation dans le sous-sol, consultez cette section du site de l'Institut de prévention des sinistres catastrophiques. De son côté, le site de la Société canadienne d'hypothèques et de logement possède une section spécialement dédiée aux dommages causés par l'eau et la moisissure.


Liste des risques couverts (ou non) par la majorité des contrats offrant une protection de base

• Inondation due à la crue des eaux
Exemple: débordement de la rivière Richelieu en mai 2011.
Non couvert.

• Fuite, rupture ou débordement soudain et accidentel des conduites publiques d’eau potable
Exemple: bris majeur d’aqueduc dans Côte-des-Neiges à Montréal (boulevard Décarie) en avril 2011.
Couvert.

• Fuite, rupture, débordement ou renversement soudain et accidentel des installations sanitaires et installations contenant de l’eau
Exemples: débordement d’un lave-vaisselle ou d'une baignoire, chauffe-eau qui se perce, etc.
Couvert. Exception: fuites, refoulements ou débordements des branchements d’égouts, de fossés, de puisards, de fosses septiques, de champs d’épuration, de fosses de retenue, de drains français, de gouttières, de tuyaux de descente pluviale ou de colonnes pluviales.

• Pénétration, infiltration ou ruissellement des eaux souterraines ou des eaux de surface à travers les murs ou les ouvertures des caves, les fondations, le sol des caves ou les trottoirs

Non couvert. On peut toutefois couvrir ce risque avec l’avenant Dommages d’eau – Eau du sol et égouts.

• Pénétration ou infiltration de la pluie/neige à travers les toits/murs/portes/fenêtres

Non couvert. On peut toutefois couvrir ce risque avec l’avenant Dommages d’eau – Eau au-dessus du sol.

• Gonflement de la nappe phréatique

Non couvert. On peut toutefois couvrir ce risque avec l’avenant Dommages d’eau – Eau du sol et égouts.

• Pourriture sèche et moisissure

Non couvert. Les dommages par la pourriture ou la moisissure sont toutefois couverts s’ils sont directement causés par un sinistre couvert.

• Pollution (émanations, contamination, etc.)

Non couvert.

• Frais de biens déménagés par mesure de précaution

Couvert pendant 30 jours (si sinistre couvert). La limitation de 10 % pour les biens temporairement hors des lieux ne s’applique pas (à noter que le pourcentage peut varier selon les assureurs).

• Frais de déblaiement
Couvert (si sinistre couvert).

• Frais de démolition et remise en état d’une partie intérieure du bâtiment afin de réparer les installations sanitaires ou celles contenant de l’eau

Couvert (si dommage d'eau couvert).

• Frais de démolition et remise en état d’une partie extérieure du bâtiment ou des lieux assurés afin de réparer les appareils et les installations

Non couvert. On peut toutefois couvrir ce risque avec l’avenant Frais de démolition extérieure.

• Frais de subsistance ou valeur locative

Couvert (si sinistre couvert), mais des limites quant aux montants et la durée peuvent s'appliquer.

Pour plus d'informations: Bernard Dufour Immobilier 418-559-0456

Source: Stéphanie Perron

samedi 22 mars 2014

Guide d'achat d'un déshumidificateur

Si vous voulez rendre un sous-sol plus confortable, réparer le dégât d’eau causé par votre laveuse déchaînée ou assainir un vide sanitaire centenaire, considérez l’achat d’un déshumidificateur.

Comment ça fonctionne?
Le déshumidificateur aspire l’air et le fait passer sur une surface très froide formée de serpentins remplis de liquide réfrigérant. Comme l’air humide se condense quand la température diminue, il se forme alors des gouttes d’eau. Ces dernières tombent dans le bac récupérateur et l’air devenu plus sec est expulsé après avoir été réchauffé par un deuxième serpentin.

Trois caractéristiques à rechercher

Sa capacité
Tout d’abord, calculez la capacité nécessaire de votre appareil. Les fabricants fournissent des tableaux comparatifs sur les emballages, ce qui permet d’établir vos besoins selon la superficie à couvrir et la gravité du problème d’humidité. Pour un endroit modérément humide, vous devrez pouvoir extraire au moins 10 litres d’eau en 24 h dans un espace de 500 pi2 et jusqu’à 38 litres dans un autre de 3 000 pi2.

Des chopines?
L’emballage de plusieurs modèles, entre autres ceux qui sont importés des États-Unis, donne encore la capacité en chopines plutôt qu’en litres. Une chopine américaine équivaut à presque un demi-litre (0,47 L).


Son efficacité
Plus le facteur énergétique (FE) est élevé, moins votre achat vous coûtera cher en électricité. On calcule ce facteur en déterminant le nombre de litres d’eau qu’un appareil peut extraire par kilowattheure de consommation à une température de 27 °C et une humidité relative de 60 %. Malheureusement, les fabricants et détaillants fournissent rarement cette donnée dans la description du produit sur le Web. Il vous faudra consulter la liste de l’Office de l’efficacité énergétique (voyez l’encadré plus bas) ou vous déplacer en magasin afin de trouver cette information dans le guide d’utilisation ou sur le bac de l’appareil. Sinon, assurez-vous au moins que l’appareil est certifié Energy Star, ce qui lui reconnaît une certaine efficacité. Dans ce cas, le logo est affiché bien en vue sur la boîte .

Son coût
Le prix de vente d’un déshumidificateur varie de 200 à 350 $, selon la capacité et les options choisies. En l’achetant à la fin de l’automne ou en hiver, vous pourrez souvent profiter de rabais de fin d’année. Si vous vous procurez votre appareil sur le Web, n’oubliez pas de prendre en compte les frais de livraison. Ils varient selon la région où vous habitez. D’après nos recherches, les appareils les moins chers sur le marché seraient aussi les seuls à ne pas être conformes à la norme Energy Star. Vous payez donc moins à l’achat, mais davantage à l’utilisation.

Dénichez les plus efficaces
Le site Web de l’Office de l’efficacité énergétique (OEE) de Ressources naturelles Canada vous permet de trouver le FE de la plupart des modèles. Vous n’avez qu’à choisir la marque qui vous intéresse dans le menu déroulant, ainsi que la capacité en litres de l’appareil. Vous obtiendrez alors sa fiche détaillée.

Nous avons fait le calcul pour le meilleur et le pire modèle de 23,5 L de capacité affichée sur le site de l’OEE. Pour extraire la même quantité d’eau dans une année, soit 1 500 L, une moyenne réaliste pour les endroits humides, le Maytag M4DH50GA coûtera 81 $ d’électricité comparativement à 47 $ pour le DeLonghi DE500P.

Source: Stéphanie Lalut

 SI VOUS DÉSIREZ  DES CONSEILLES OU PLUS INFORMATIONS: CONTACTEZ-MOI Bernard Dufour Courtier Immobilier 418-559-0456.

 

Problèmes d'humidité? Solutions et guide d'achat de déshumidificateur.

Le bas de vos fenêtres ressemble à un verre de limonade posé sur la table en pleine canicule? Votre maison a peut-être un problème d’humidité.

Les symptômes

On décèle souvent des problèmes d’humidité par des odeurs de moisi, des taches mouchetées au bas des murs ou de la condensation sur les fenêtres. On peut remarquer que de la peinture s’écaille ou fait des bulles. Dans les endroits plus frais, comme les sous-sols, l’air est inconfortable et le froid semble transpercer les vêtements et les couvertures.
Dans certains cas, les surfaces se révèlent noircies de larges cernes, les tapis ou les panneaux de gypse sont humides ou même mouillés au toucher. Les murs de béton exposés s’effritent en surface ou sont recouverts de dépôts farineux blancs.

Vous reconnaissez votre maison? Vous n’êtes pas le seul. Les problèmes d’humidité sont tellement fréquents que la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) et l’Office de l’efficacité énergé­tique (OEE) ont créé une gamme de produits d’information afin d’aider les proprié­taires. De son côté, l’Association provinciale des constructeurs d’habitations du Québec (APCHQ) propose des formations à ses membres.

Si vous constatez des problèmes d'humidité, agissez sans tarder, votre mode de vie peut parfois en être la cause. Si vous considérez acheter un déshumidificateur, consultez le guide d'achat  parmi les articles de mon blogue.

Source: Stéphanie Lalut

SI VOUS DÉSIREZ  DES CONSEILLES OU PLUS INFORMATIONS: CONTACTEZ-MOI Bernard Dufour Courtier Immobilier 418-559-0456.

jeudi 27 février 2014

Commission/tarifs

Commission/tarifs



Frais de commission qui peut être inférieur à 0.5% du prix de vente ou à partir de 990.$ . SEULEMENT!

Avec la présence de Bernard Dufour Courtier Immobilier. Pour vous
aider à vendre votre propriété à partir de 990.$ ou environ  0.5% !


Incroyable! Vous pourriez payer à partir de 990.$  + taxes , ceci
uniquement après la vente, à la signature de l’acte de vente devant
notaire.


Une rétribution à partir de 990.$ et non à partir de 1, 2, 3 ou 5% du
prix vente. Voir les conditions ci-dessous. Avec le service
professionnel que tout courtier se doit de vous promettre.

dimanche 12 janvier 2014

Pourquoi prendre un courtier immobilier? Pourquoi prendre un agent d'imm...

Vendre ou acheter sans courtier Une décision risquée!

Planchers et couvre-sols: les matériaux avantages et inconvénients.


MatériauxAvantagesInconvénientsPrix
Parquet en bois massif (bois franc et marqueterie)

Lames ou planches de bois massif munies de rainures et de languettes leur permettant de s’emboîter les unes dans les autres. Offertes dans différentes essences, notamment le chêne, l’érable, le merisier, le frêne, le hêtre et le noyer. Les lames sont vendues à l’état brut ou préfinies.
Moins le bois est de qualité, plus la couleur des lames varie et plus le nombre de nœuds augmente. Le parquet
 mosaïque (ou marqueterie), est constitué  d’un assemblage de lamelles de bois dur brochées ou collées entre elles sur un carré de toile. Certains produits sont composés de placages de bois dur collés sur un support de contreplaqué. Les carreaux de marqueterie doivent être collés au sous-plancher, contrairement aux lames de bois franc devant être clouées. Ils se vendent à l’état brut ou préfinis.
- Résistant aux égratignures et aux taches (durée de vie de plus de 50 ans)

- Peut être poncé et fini à répétition.

- Facile d’entretien

- Produit naturel

- Variété d’essences et de teintes
- S’use rapidement

- Peut se décolorer et se bosseler

- Sensible à l’humidité (à éviter dans les sous-sols et les salles de bains)

- Le bois non fini doit être poncé et requiert une couche de protection (ex. polyuréthane)

- Difficile à installer soi-même
Pour parquet en bois massif ordinaire:
- de 4 à 12 $/pi2
- de 4,50 à 14,50 $/pi2 installation comprise
- sablage et finition: de 1 à 3 $/pi2


Bambou

Lames ou panneaux constitués de lamelles de bambou massif collées. Possèdent des rainures et des languettes leurs permettant de s’emboîter les uns dans les autres pour former une surface uniforme. Vendus à l’état brut ou préfinis. La qualité du produit varie grandement selon le type de bambou choisi. Approvisionnez-vous chez un marchand spécialisé afin d’obtenir un bon rapport qualité-prix.
- Prix équivalent à celui du bois franc

- Plus stable aux variations d’humidité que tout autre bois naturel

- Résistant aux taches, aux égratignures et à la chaleur

- Peut être poncé, teint et verni à répétition

- Variété de teintes, de textures et de finis
- Difficile à installer soi-même

- Qualité variable selon l’espèce de bambou
- Environ 5 $/pi2

- De 5,50 à 7,50 $/pi2 installation comprise
Parquet stratifié (laminé)

Lames ou panneaux de particules de bois ou de fibres à haute densité (HDF) sur lesquels est collée une couche décorative protégée par un recouvrement de résine de mélamine et d’oxyde d’aluminium. Certains modèles plus chers possèdent une couche décorative en bois véritable. Plus un parquet de stratifié est épais, meilleure est sa qualité. Les lames ou panneaux possèdent des joints leur permettant de s’imbriquer les uns dans les autres pour former une surface uniforme. À l’installation, le parquet stratifié est posé sur une membrane composée d’un pare-vapeur et d’une mousse de caoutchouc ou de polyéthylène afin d’éviter que les panneaux ne se détachent. Ce système d’installation, appelé plancher flottant, ne nécessite aucune fixation au sol. Un parquet stratifié s’installe sur n’importe quelle surface plane: évitez tout de même le tapis.
- Peu coûteux

- Plus résistant aux égratignures, au soleil et aux bosselures que le bois franc

- Facile d’entretien et à installer soi-même

- Variété de styles, de couleurs et de finis
- Peut se décolorer et se bosseler (moins que le bois franc)

- Vulnérable aux liquides (à éviter dans la salle de bains)

- Ne peut pas être poncé ni reverni
- De 1 à 5,50 $/pi2

- De 3,50 à 8 $/pi2 installation comprise
Liège

Panneaux de fibres à haute densité (HDF) recouverts d’une couche de liège protégé par une pellicule d’uréthane ou de plastique stratifié. Se pose en plancher flottant. Aussi offert sous forme de bois usiné ou de tuiles de liège à coller. Les différents produits de liège sont principalement vendus préfinis (recouverts d’un vernis de polyuréthane). Posez un film pare-vapeur avant de fixer un plancher de liège sur du béton ou un faux plancher. Utilisez une mousse de polyéthylène s’il s’agit d’un plancher de bois franc. Il est recommandé d’appliquer une couche de vernis afin de sceller les joints du plancher, même si les panneaux ou les tuiles sont préfinis. Évitez le vernis cristallin: il peut craquer.
- Résistant aux chocs, aux taches et au soleil

- Ignifuge et imputrescible

- Isole du bruit et des vibrations

- Facile d’entretien et à installer soi-même

- Confortable (matériau «chaud»)

- Peut être reverni

- Réutilisable et hypoallergénique

- Variété de textures, de teintes et de couleurs
- Coûteux

- Sensible à l’humidité (à éviter dans les sous-sols et les salles de bains)
- De 5 à 8,50 $/pi2

- De 6 à 10 $/pi2 installation comprise
Bois contrecollé (usiné ou d’ingénierie)

Lames composées de plusieurs couches de contreplaqué collées dont la couche supérieure est faite de bois franc. Certains produits ne sont fabriqués qu’en bois franc tandis que d’autres utilisent une combinaison de bois franc en surface et de bois tendre au centre. Offert en plusieurs essences courantes (ex. érable, chêne, merisier) et exotiques, plus chères (ex. ipé, jatoba, bois de rose). Vendu à l’état brut ou préfini (recouvert d’un vernis de polyuréthane). La qualité du produit varie selon les types de bois utilisés, leur provenance, leur traitement, l’épaisseur du vernis ainsi que le mode d’assemblage.
- Moins sensible à l’humidité que le bois franc (convient aux sous-sols)

- Peut être cloué, agrafé, collé ou installé sans fixation comme un plancher flottant

- Certains modèles peuvent être poncés et finis à répétition

- Plus facile à installer que le bois franc

- Apparence de bois

- Variété d’essences, de teintes et de couleurs
- Plus cher que le bois franc

- S’use rapidement et se bossèle facilement

- Vulnérable aux liquides

- Qualité variable d’un produit à l’autre
- De 5 à 10 $/pi2

- De 4 à 14,50 $/pi2 installation comprise
Carreaux

Fabriqués à partir de différents matériaux: verre, céramique, porcelaine ou pierre naturelle. Le carrelage comprend l’assise, les carreaux, l’adhésif, le coulis et parfois un scellant pour le coulis. L’épaisseur d’un carreau n’est pas un gage de résistance. Fiez-vous à l’utilisation conseillée pour faire votre choix (mur ou plancher). Les carreaux de granit et de marbre sont généralement polis tandis que ceux d’ardoise ou de calcaire sont vendus à l’état brut et doivent être recouverts d’un scellant. L’épaisseur des carreaux d’ardoise varie étant donné que les pièces sont fracturées plutôt que coupées.
- Résistants

- Faciles d’entretien

- Grande variété de motifs, de couleurs, de textures et de prix

- Offerts dans un éventail de grandeurs variant de 1 x 1 po à 20 x 20 po

- Permettent un décor personnalisé.
- Vulnérables aux cassures (surtout si mal installés)

- Difficiles à installer soi-même

- Accumulation de saletés dans les joints (appliquez périodiquement un bouche-pores sur le coulis)
Verre et céramique:
- de 50 ¢ à 16,50 $/pi2
- de 7 à 22,50 $/pi2 installation comprise

Granit:
- de 3,50 à 25,50 $/pi2
- de 11 à 33 $/pi2 installation comprise

Marbre:
- de 3,50 à 15,50 $/pi2
- de 11 à 23 $/pi2 installation comprise

Ardoise:
- de 2,50 à 8 $/pi2
- de 10 à 15,50 $/pi2 installation comprise

Roches calcaires:
• de 6 à 20 $/pi2
• de 13,50 à 27,50 $/pi2 installation comprise
Tapis (ou moquette)

Revêtement textile tissé, poinçonné à l’aiguille ou feutré à partir de fibres synthétiques non biodégradables (ex. nylon, polyester), recyclées ou naturelles (ex. jute, laine). La pose d’un sous-tapis de caoutchouc, de mousse agglomérée ou d’uréthane, appelé thibaude, est cruciale afin d’absorber les chocs et de prolonger la vie du tapis. Certains tapis comportent déjà une thibaude préencollée en usine. L’épaisseur idéale d’une thibaude se situe entre 3/8 et ½ po (10 et 13 mm).
- Résistant aux chocs et aux égratignures (durée de vie moyenne de 10 ans)

- Confortable et isole du froid

- Contribue à l’insonorisation et dissimule les irrégularités du sol.

- Variété de couleurs, de types et de longueurs de poils (le poil long convient au salon, à la salle de séjour et aux chambres à coucher tandis que le poil court convient au sous-sol et à l’entrée)
- Entretien exigeant

- Peut se tacher, brûler et se décolorer

- Difficile à installer soi-même

- Ne convient pas aux personnes atteintes
d’allergies ou de maladies respiratoires
- De 1 à 8 $/pi2

- De 6,50 à 13,50 $/pi2 installation comprise
Béton

Le béton est composé d’un mélange de ciment Portland, de granulat, d’eau et parfois d’adjuvants. Une dalle de béton déjà existante peut être revitalisée en plancher lustré: il suffit de la polir et de la recouvrir d’un scellant. Évitez ce genre de travaux pour un béton dont la résistance à la compression, exprimée en mégapascals (MPa), est trop faible (20 MPa ou moins). Pour un plancher neuf, choisissez un béton de 30 MPa avec de fins agrégats de pierres concassées. Assurez-vous que la surface receveuse est assez solide pour supporter le poids du plancher. L’installation d’un plancher de béton doit être confiée à un professionnel. Il est possible de peindre ou de texturer le béton frais pour imiter, par exemple, la céramique ou la brique.
- Très résistant à l’usure

- Permet d’incruster un système de plancher chauffant

- Facile d’entretien

- Produit naturel réutilisable

- Possibilité de design personnalisé

- Variété de couleurs
- Installation par un professionnel

- L’application de scellant pénétrant se fait environ tous les cinq ans et doit être refaite tous les deux ans pour le scellant de surface
- Installation d’une nouvelle dalle: de 1 à 2 $/pi2 (surface de 300 à 400 pi2 minimum)

- Location d’une pompe à béton si nécessaire: de 100 à 125 $/heure

- Restauration d’une vieille dalle (polissage, scellant et teinture): de 6 à 12 $/pi2

- Polissage et scellant: de 3 à 6 $/pi2

- Teinture: de 2 à 6 $/pi2
Plancher chauffant électrique

Constitué d’un câblage électrique chauffant installé à la surface d’un plancher ou à l’intérieur d’une dalle de béton. Il s’installe sur presque toutes les surfaces (ex. béton, contreplaqué, céramique). Le dispositif est ensuite recouvert d’un ciment-colle, afin de permettre la pose de céramique, ou d’une couche de ciment autonivelant pour l’installation des autres types de revêtements de plancher. La plupart des revêtements conviennent aux planchers chauffants. Évitez néanmoins le tapis et le bois franc. Un plancher chauffant électrique ne peut pas servir de source de chauffage principale dans une maison. Le système de chauffage se contrôle à partir d’un thermostat vendu de 70 à 200 $. Il nécessite également deux sacs de béton nivelant et la visite d’un électricien pour le branchement, soit une facture, hors matériaux, qui atteint les 600 $.
- Certaines installations peuvent servir de système de chauffage principal dans une pièce

- Système de chauffage non apparent

- Confort (chaleur mieux distribuée)

- Aucune poussière déplacée par la circulation de l’air
- Coûteux

- Installation et réparation par un professionnel

- Certains tapis et meubles massifs peuvent empêcher la circulation de l’air chaud (évitez de poser du câblage chauffant sous des cabinets et des appareils électriques)
- Le prix d’un plancher chauffant varie en fonction du type de câblage utilisé (bobine, rouleau, tapis), de la puissance du câblage, du type de plancher sur lequel le câblage est installé, des frais de branchement au panneau électrique et des tarifs des installateurs. Colle, ciment, thermostat, branchement électrique et revêtement de plancher ne sont pas compris dans les prix ci-dessous.

- De 4 à 35 $/pi2

- Installation: de 45 à 75 $/heure
Linoléum

Revêtement constitué d’une toile de jute  imperméabilisée par l’application d’huile de lin et de poudre de bois ou de liège. La couleur et les motifs s’obtiennent par l’ajout de pigments. Le linoléum se colle au sol. Nécessite l’application de deux à trois couches de cire de protection (ex. cire métallique) après son installation. Vendu en feuilles souples ou en panneaux de bois stratifiés déjà recouverts de linoléum.
- Résistant aux chocs, aux bosselures, au soleil et à la moisissure

- Facile d’entretien et à installer soi-même

- Produit naturel antiallergène et antibactérien

- Peut être fabriqué de produits recyclés

- Grande variété de motifs, de styles et de couleurs
- Vulnérable aux égratignures

- Vulnérable à l’humidité (à éviter dans les salles de bains et les sous-sols)
- De 2 à 9 $/pi2

- De 4 à 11,50 $/pi2 installation comprise
Vinyle

Feuilles ou tuiles dont la base (ex. feutre, papier latex) est recouverte d’un mélange de résines de PVC et de plastifiant. Le revêtement est protégé par une couche d’usure. Les couches d’usure de polyuréthane ne nécessitent aucun cirage tandis que celles de PVC exigent deux ou trois couches de cire après l’installation. Le prix du revêtement varie en fonction du design et de l’épaisseur de la couche d’usure. Les revêtements de vinyle se fixent à l’aide d’une colle spéciale. Certaines tuiles de vinyle peuvent déjà être munies d’un adhésif (préencollées) sur toute leur surface ou sur leur pourtour.
- Résistant à l’humidité, aux taches, au soleil et à la moisissure (idéal pour les endroits très passants)

- Facile d’entretien et à installer soi-même

- Grande variété de motifs, de couleurs et de reliefs
- Vulnérable aux égratignures

- Difficile à réparer
- De 1 à 7 $/pi2

- De 2 à 10,50 $/pi2 installation comprise
Sous-plancher flottant sur dalle de béton

Panneaux de particules ou de bois usiné recouverts d’une couche d’isolant rigide de polystyrène ou d’une membrane étanche de plastique de polyéthylène. Possèdent des rainures et des languettes leurs permettant de s’emboîter les uns dans les autres pour former une surface uniforme. Les panneaux de sous-plancher se posent comme un plancher flottant. Tous les types de revêtements peuvent ensuite être utilisés pour les recouvrir.
- Facile à installer soi-même

- Amortit les pas

- Peut soutenir des objets lourds (ex. table de billard, équipement d’exercice)

- La couche de polyéthylène ou d’isolant rigide bloque l’humidité produite par le béton

- L’espace d’air permet à l’humidité accumulée et aux légères fuites d’eau de circuler jusqu’au siphon de sol, sans endommager les panneaux ni le revêtement

L’espace d’air crée une isolation thermique et permet au béton de sécher
- Environ 2 $/pi2

- De 3 à 4 $/pi2 installation comprise



Par Guillaume Jousset



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Bernard Dufour.
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Bonne journée!

mardi 7 janvier 2014

Les portes et fenêtres: Combien de temps peuvent-t-elles durée ?


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Source: Jean-François Venne



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